L’ineffable
Il est de l’ineffable
Bonté, douceur, extase
Un sens inexprimable
Du blanc noir de nos cases
Qui ne peut que par fable
Evitant la protase
Nous le rendre éclairant
Sans piaffer ou pousser des cris.
Ainsi chute la phrase
Qui trop écrit, mal apprend,
Quand qui trop apprend mal, écrit
Ignorance ou emphase.
Dans le malheur, quand l’heure sonne
Je rappelle la magie à l’aide
Lorsque nous n’existons plus pour personne
L’écriture est le seul remède
D’une existence éternelle en phase.
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