A chacun sa route
Pour une
maison grise
Une espèce
de bouge
Aux portes
de la nuit sous le froid de la brise
La comédie
humaine en attisa le rouge.
Qui fait
que l’on vit là
Plutôt que
dans les gorges ?
Qui sait
que l’on égorge
A perdre sa
vie là ?
Ce qui est
si sordide
Dans
l’auberge de Peyrebeille
Qui est
plutôt splendide
Baignée
par le soleil
C’est de périr
après avoir cassé la croute
En
touriste innocent oublieux de la montre.
Il n’est
point de mauvaise route
Mais que de
mauvaises rencontres.
Très belle fable, mais qui donne froid dans le dos. On ne sait rien de notre destinée et c’est tant mieux. Merci Daniel
RépondreSupprimerFlorian